Nous avons rassemblé ci-après, quelques extraits de presse présentant ce thème important. Si vous souhaitez aller plus loin, il existe un test permettant d’évaluer les choses : Test de Maslach https://www.atousante.com/risques-professionnels/sante-mentale/stress-professionnel/test-inventaire-burn-out-maslach-diagnostiquer-epuisement-professionnel/
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« Selon une enquête (1) présentée ce mardi par l’Association d’aide aux professionnels de santé et médecins libéraux (AAPml) et les infirmiers et kinés libéraux de l’Union régionale des professionnels de santé (URPS) d’Ile-de-France, 62 % des infirmiers et 61 % des masseurs-kinésithérapeutes d’Ile-de-France se sentent personnellement menacés par l’épuisement professionnel.
La quasi-totalité de ces répondants a cité l’excès de paperasserie (87 % des infirmiers, 90 % des kinés) comme première cause de leur épuisement professionnel.
Par ailleurs, huit kinés sur dix (82 %) se plaignent également de la longueur des journées de travail et du trop grand nombre d’actes quotidiens, tandis que 79 % des infirmiers font face à des patients de plus en plus exigeants.
Enfin, la charge de travail trop lourde a été évoquée par 77 % des kinés. Les infirmiers, eux, placent en troisième position (à 77 % aussi) la non-reconnaissance de leur action comme source de burn-out. »
Extraits de l’article de Sophie Conrard Kiné actualité n° 1466 – 17/11/2016 sur le SPS : soins aux professionnels de santé.
« Une association aussi efficace, j’appelle ça une “machine de guerre”. Créée il y a à peine deux ans, l’association SPS (Soins aux professionnels de santé) est sur le point de déployer un système de prise en charge des soignants en détresse basé notamment sur une plate-forme téléphonique d’envergure nationale, et un réseau composé d’une dizaine d’unités de prise en charge spécifiques alors qu’il n’en existe aujourd’hui aucune.
En parallèle, SPS organise son deuxième colloque (le premier a eu lieu il y a un an) et vient de publier les résultats d’une récente étude portant sur les attentes des professionnels de santé vulnérables (en 2015, la première visait à estimer l’ampleur du phénomène). »
« Un chiffre m’a interpellé dans les résultats de l’étude menée par SPS.
Sur les 4 000 professionnels de santé qui ont répondu au questionnaire courant octobre, mille sont des masseurs-kinésithérapeutes. Vous êtes la profession qui a répondu le plus massivement. Pourquoi ? L’institut de sondage ne l’explique pas. Êtes-vous la profession de santé la plus exposée au burn out ? Difficile à dire. En tout cas, j’y vois une raison de suivre de très près ce sujet dans nos colonnes dans les semaines et mois à venir. »